La pression foncière à Capesterre est une réalité. La demande de logement entraîne progressivement l’urbanisation diffuse de terres agricoles et d’espaces naturels. Il convient d’équilibrer autrement l’utilisation du foncier à Capesterre. Il importe de repenser la complémentarité entre les espaces naturels agricoles et urbanisés dans le souci premier de garantir le maintien de l’agriculture pour tous. En outre, il est urgent de continuer à protéger les milieux naturels remarquables (littoral, mares, falaises…). Aussi, il s’agit de réfléchir à l’impact des pratiques agricoles sur la préservation de la biodiversité.

• Viser la densification de l’habitat : rénover les parcs immobiliers en partenariat avec les bailleurs locatifs.
• Reconquérir les «dents creuses» : jardins, placettes, expositions d’art, petits commerces.
• Promouvoir l’urbanisme au service d’un cadre de vie de qualité : intégration paysagère, accessibilité, sécurité, déplacements doux ; architecture locale spécifique ; disponibilité des équipements et des services.
• Réhabiliter les accès et les chemins de ravines ; restaurer les sentiers historiques menant d’une habitation à l’autre ; sécurisation ; balisage.
• Développer une politique de revitalisation des panoramas, sites et paysages.